mardi 3 janvier 2012

Se nourrir selon la nature

L'on vient d'attirer mon attention sur une page du site de René Bickel, à laquelle je renvoie (http://www.bickel.fr/2011/12/15/experience-avec-lalimentation-vivante-3/#comment-30). Voici le commentaire que je viens d'y ajouter :

J'ai moi aussi constaté les effets bénéfiques d'une alimentation naturelle et, par conséquent, crue, sur moi-même, sur mes parents, sur d'autres personnes. Il paraît d'ailleurs normal, si l'on y réfléchit un instant sans préjugé, qu'une alimentation conforme à la nature telle que Dieu crée celle-ci nous convienne mieux qu'aucune autre. Le Père nous aime, et Il sait de quoi nous avons besoin. Je suis donc très heureux qu'on ait attiré mon attention sur cette page de René Bickel.
Noter qu'il ne suffit pas de ne rien cuire pour obtenir une alimentation pleinement naturelle, autrement dit vraiment saine. Il faut encore éviter de dénaturer les aliments par d'autres procédés que la cuisson, tels que la mouture ou d'autres alimentation broyages, ou certaines fermentations. Il faut aussi s"abstenir d'assaisonnement ou d'autres mélanges, afin que chacun demeure capable de choisir l'aliment qui lui convient à un moment donné (ce qui se fait par l'odorat : observez les animaux, les petits enfants, vos propres mouvements spontanés) et puisse sentir à une modification du goût qu'il est temps pour lui de terminer son repas ou, s'il n'est pas à peu près rassasié, de passer à quelque autre aliment. Il faut aussi, bien entendu, s'abstenir de lait ou de produits en dérivant (hormis, dans les premiers temps de la vie) le lait de sa propre mère ou, à défaut, d'une femelle de la même espèce). Quelques autres conseils seraient encore utiles à qui voudrait se mettre à se nourrir naturellement, mais l'essentiel est dit dans les lignes qui précèdent.

dimanche 29 mai 2011

CHRIST EST RESSUSCITÉ




Christ est ressuscité, alléluia ! --- Il est vraiment ressuscité, alléluia !




J'ai constaté avec effarement dans la nuit et le matin de Pâques, puis au long des semaines suivantes, que la plupart de nos frères et sœurs ignoraient qu'échanger les mots que je viens d'écrire était entre chrétiens la façon normale de se saluer au temps pascal, celui qui salue disant : "Christ est ressuscité, alléluia !", celui qui est salué répondant : "Il est vraiment ressuscité, alléluia !", après quoi l'on s'embrasse. L'usage en est resté vigoureux chez nos frères grecs et russes (et, je suppose, chez tous les Orientaux, puisqu'il remonte très probablement aux origines même de la foi en la Résurrection). Il serait excellent, je crois, de nous voir, nous autres Latins, en reprendre l'habitude. On trouve ces deux phrases dans la liturgie latine aussi, mais sans l'inlassable et heureuse répétition des liturgies d'autres rites.



La plupart de ceux que j'ai salués en leur disant : "Christ est ressuscité, alléluia !" ont eu l'air un peu surpris et m'ont répondu : "Joyeuses Pâques !" (en ajoutant mon nom de baptême quand ils avaient l'habitude de m'appeler ainsi), ou : "Alléluia !" (ce qui était mieux), quand ce n'était pas quelque chose comme : "Bonjour ! Comment vas-tu ?". Une personne plus intelligente a deviné qu'il s'agissait d'une salutation liturgique, et m'a demandé avec confusion ce qu'il fallait répondre. Je crois bien que les seuls à me dire en retour : "Il est vraiment ressuscité, alléluia !" furent quelques-uns des membres du groupe de prière du Renouveau auquel je participe chaque lundi (mais peut-être le leur avais-je moi-même appris une année passée). En revanche, une voisine ukrainienne, à qui je disais la même chose en slavon, m'a aussitôt répondu avec joie dans la même langue : "Il est vraiment ressuscité !"




Que Dieu vous garde indéfectiblement dans la joie pascale !

vendredi 30 avril 2010

Homoeopathie

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Je suis très déçu par l'émission sur l'homoeopathie dont je viens d'entendre une grande partie sur France-Culture. Beaucoup des arguments qu'avance le Dr Sarembaud (citer des noms de personnes célèbres ou d'institutions vaguement favorables à l'homoeopathie) ne vont guère à l'essentiel. L'étroitesse d'esprit, l'ignorance, le mépris pour les faits et pour ses interlocuteurs dont fait preuve le Dr Arié sont proprement consternants.

Le titre même de l'émission ("Faut-il encore croire à l'homéopathie ?") indiquait déjà clairement l'intention de biaiser le débat.

Quiconque s'est soigné par l'homoeopathie peut en attester l'efficacité (non constante dans les cas délicats, bien entendu, mais il en va de même pour toutes les formes de médecine). Quiconque a lu quelques pages de Hahnemann ou de ses continuateurs ne peut qu'être convaincu de la rigueur scientifique de leur démarche.


Je suis d'ailleurs persuadé que la principale raison du remboursement de plus en plus faible des remèdes homoeopathiques en France, alors qu'ils sont relativement très peu coûteux et ne mettent donc pas en danger les comptes de la Sécurité sociale, est dans leur efficacité. Il s'agit d'en détourner autant qu'on le peut le gros de la population, au profit des grands laboratoires qui nous inondent de médicaments chimiques dangereux et dispendieux.

jeudi 3 décembre 2009

Vaccination (vue plus générale)

Je n'ai décidément pas beaucoup de temps pour écrire, ni sur ce site, ni ailleurs. Venant, à l'occasion d'un message reçu dans un "forum" auquel il m'arrive de participer, de relire quelques alinéas que j'y avais moi-même publiés, je recopie ces derniers ci-dessous :

Posté 26 octobre 2008 - 00:44
Je viens de lire avec un vif intérêt tout ce que vous avez écrit sous le présent sujet.

J'admire la fermeté de plusieurs d'entre vous à protéger leurs enfants des vaccinations. Celles-ci constituent en toute rigueur de termes des crimes contre l'humanité, puisqu'elles consistent à tuer des gens pour la seule raison qu'ils sont des êtres humains d'un certain âge (ou parfois d'une certaine profession, etc.). Heureusement, toutes les victimes n'en meurent pas effectivement, bien que ce soit en plus grand nombre que les services officiels ne l'avouent, mais des millions en pâtissent gravement. J'admire en particulier la fermeté de [...], qui doit préserver ses bêtes (et ainsi la santé des personnes qui mangeront celles-ci) en sus de ses enfants.

Je suis moi-même très ferme sur ces questions depuis qu'une de mes camarades d'études est morte d'une intradermo-réaction à la tuberculine (ce n'est pas exactement une vaccination, mais un procédé très voisin et semblablement dangereux). Cela m'a été confirmé par son médecin, mais n'est pas entré dans les statistiques officielles ! J'ai alors refusé la cuti-réaction que l'on voulait m'imposer, et j'ai gagné quelques années plus tard (après avoir refusé d'étouffer l'affaire comme on me le proposait et obtenu qu'on m'accorde néanmoins le diplôme préparé cette année-là) le procès administratif qu'il m'a fallu intenter au Recteur et au Ministre de l'Education nationale (mais un de mes camarades, qui avait besoin d'un examen de plus l'année suivante, si bien qu'il ne pouvait attendre quelques années de gagner, lui aussi, son procès, a dû s'expatrier et poursuivre ses études à l'étranger).

Certains d'entre vous, certaines surtout se demandent s'il leur sera possible de résister jusqu'au bout. Je voudrais les rassurer. Je connais plusieurs familles dont les enfants, déjà adultes, n'ont jamais été vaccinés en dépit de diverses intimidations. L'Administration cède en général quand on est sûr de son bon droit et que l'on ne cède pas soi-même d'abord. Rappelez-vous d'ailleurs qu'elle cherche à imposer des vaccinations que la loi n'a nullement rendues obligatoires, en les incluant dans un "calendrier" des vaccinations dont beaucoup de parents et même beaucoup de fonctionnaires ne savent pas que tout n'y est pas obligatoire. Mais il est un peu délicat de savoir quand il est préférable de résister en silence, en se faisant oublier, et quand il convient au contraire de le faire publiquement, voire bruyamment. Il est utile d'être conseillé et aidé.

Une des raisons pour lesquelles l'Administration cède souvent depuis quelques dizaines d'années est que des parents réfractaires à l'obligation vaccinale se sont regroupés dans la Ligue nationale contre les vaccinations obligatoires, devenue la Ligue nationale pour la liberté des vaccinations (http://www.infovaccin.fr/presentation-de-la-ligue.html). C'est déjà cette Ligue qui avait obtenu (dès 1956, si je ne me trompe pas) une loi prévoyant l'indemnisation par l'Etat des accidents consécutifs à des vaccinations obligatoires : la loi française reconnaît donc expressément l'existence d'accidents vaccinaux graves et imprévisibles. Je n'aurais pas gagné mon procès (voir plus haut) si cette même Ligue ne m'avait procuré un avocat au fait de ces questions, dont je n'aurais pas été capable à l'époque de payer les honoraires.

Beaucoup d'entre vous avez sans le savoir bénéficié indirectement de l'action et de l'existence de la Ligue nationale pour la liberté des vaccinations. Mais, d'une part, celle-ci n'intervient directement dans des cas particuliers qu'en faveur de ses membres, comme il est naturel, puisqu'elle ne vit guère que des cotisations de ces derniers, et, d'autre part, ses interventions et son rôle général de paratonnerre seront d'autant plus efficaces qu'elle sera plus forte, donc qu'elle comptera un plus grand nombre d'adhérents. C'est donc l'intérêt de ceux qui ont des enfants ou leur propre peau à protéger et le devoir de tous les autres aussi que d'en devenir membres.

D'autres associations, fondées plus récemment, font également de leur mieux pour résister. Malheureusement, le fait qu'elles agissent séparément, au lieu d'unir leurs forces à celles de la LNPLV, affaiblit la résistance considérée dans son ensemble.

Il faudrait pour bien faire fonder une ligue pour l'interdiction des vaccinations et non pour la liberté des vaccinations. Le professeur Louis-Claude Vincent refusait d'adhérer à la LNPLV, qu'il soutenait cependant, parce qu'elle n'avait pas ce nom-là. Mais le moment n'est pas venu de le faire. Il faut procéder par étapes, et, en attendant d'avoir obtenu l'abolition de toutes les obligations, rassembler à la fois les personnes conscientes des dangers de toutes vaccinations et celles qui, croyant en partie ce qu'on leur dit des prétendus bienfaits de celles-ci, refusent néanmoins l'obligation pour des raisons politiques, juridiques ou morales.

Permettes-moi de vous renvoyez à un autre "sujet" de nos forums, où d'autres aspects de ces questions sont abordés : http://www.eco-bio.i...?showtopic=4255.

J'ajoute aujourd'hui un point qui devrait nourrir notre réflexion.

Pourquoi donc n'a-t-on pas rendu obligatoire la vaccination contre la grippe prétendument pandémique ?

Précisément parce que la loi prévoit, comme il est dit ci-dessus, que les victimes d'accidents provoqués par des vaccinations obligatoires (mais non par celles qui ne le sont pas) puissent réclamer à l'État des indemnisations. Il était beaucoup plus habile d'affoler suffisamment les habitants de notre pays pour que beaucoup se laissent vacciner sans y avoir été proprement contraints, d'autant plus que les obligations dans ce domaine n'ont jamais été en France parfaitement respectées.

[Je ne trouve pas le temps d'améliore la présentation de ctte page. Je tâcherai de le faire après coup si c'est possible]




mercredi 7 octobre 2009

Ingrédients du vaccin prétendument antigrippal


Je me contente ici aussi d'une citation. Celle-ci est indubitablement fort instructive.



Laisserez-vous injecter tout cela dans votre sang ou dans celui de vos enfants ?


Vous comprendrez mieux pourquoi j'en suis horrifié si vous prenez le temps de regarder le reportage suivant, récemment diffusé par France 5 (il vous faudra peut-être copier et coller l'adresse, si un simple clic ne donne rien) :


http://video.google.com/videoplay?docid=8503852033482537965#



Rappel des principaux constituants habituels des vaccins dits

« antigrippaux », à injecter (ou oraux) :


- Formaldéhyde (formol), nécrosant et cancérigène notoire

- Thiomersal, mercurothiolate sodique, à base de mercure, poison à l’origine de (tous les ?) cas d’autisme

- Divers antibiotiques

- Divers autres produits chimiques

- Différents virus placés là volontairement

- Différents virus ou morceaux de virus indésirables, liés au procédé de préparation

- Plus, à peu près tout ce « qu’ils » veulent y placer… et d’inavouable… surtout pour une vaccination de masse…

...notamment du squalène...

La campagne contre la prétendue pandémie grippale


J'ai peu écrit dans ce Journal, faute de temps.

Pour la même raison, je me contente aujourd'hui de reproduire un message reçu d'une autre personne. La gravité des dangers que la campagne de vaccination que l'on prépare, plus massive qu'aucune précédente fait peser en tout état de cause sur l'humanité (en premier lieu sur les futurs vaccinés, mais non seulement sur ceux-ci) m'oblige en conscience à alerter de ces dangers tous ceux qui voudront bien me lire.

Je n'en sais pas assez pour oser reprendre positivement à mon compte toutes les conclusions présentées ci-dessous ou dans les documents auxquels on renvoie (que je n'ai pas tous lus). Je suis sûr d'être en désaccord sur certains points sans lien direct avec la question des vaccinations (je ne crois pas du tout, par exemple, que la Terre soit aujourd'hui trop peuplée). Mais tous les faits rapportés méritent certainement atention et réflexion.


RAPPELS :
A visionner sans faute : L'OMS, qui est devenue le pilier du N.O.M., prépare une vaccination de masse forcée
http://www.dailymotion.com/video/x9zust_loms-prepare-une-vaccination-de-mas_news (10 mn)
A consulter :
http://artemisia-college.org/Grippe_A_H1N1___le_point_et_que_faire__-00-03-01-0235-01.html
Avec 2 nouveaux diaporamas en fin d’article, dont les tout derniers dessins de René Bickel.


Les objectifs sont :
- Réduire de façon drastique la population mondiale (« Eichmann je te vois ! »).
Cet objectif avoué part du constat que l’on est trop nombreux, ce en quoi « ils » ont parfaitement raison.
C’est sur la méthode que nous divergeons… http://artemisia-college.org/EXTRAORDINAIRE-00-03-05-0185-01.html
- Contrôler totalement la population, en particulier par l’implantation de puces RFID
- Etablir par la peur, voire la terreur, un gouvernement mondial (politique, économique, sanitaire et religieux).


Derniers éléments :
TAMIFLU : effets secondaires
La FDA a étudié les rapports concernant le comportement anormal, ainsi que les problèmes cérébraux survenus chez plus de 1800 enfants qui ont pris du Tamiflu.
Ces symptômes comprennent des convulsions, du délire, des psychoses.
Au Japon 5 décès ont été rapportés chez des enfants en dessous de 16 ans, à la suite de problèmes neurologiques et psychiatriques.
Il y a eu 9 décès chez des adolescents plus âgés ; décès attribués à des problèmes neuropsychiatriques ou des infections au niveau du cerveau.

A lire encore :
http://artemisia-college.org/Une_entreprise_criminelle-00-050-01-0236-01.html
http://artemisia-college.org/REVEILLEZ_VOUS__-6-79-1.html
http://artemisia-college.org/Grippe_porcine___aviaire___humaine___mexicaine___A-00-03-01-0227-01.html
http://artemisia-college.org/La_realite_virtuelle-00-050-01-0237-01.html

vendredi 7 novembre 2008

Jésus contre Jésus, Jésus sans Jésus...



Voici qu'on nous rebat de nouveau les oreilles avec les sophismes de MM. Gérard Mordillat et Jérôme Prieur ! Il s'agit de lancer leur nouvel ouvrage et d'abord leur nouvelle émission sur Arte. Je n'ai pas regardé leurs émissions précédentes ni lu leurs livres, mais quelques comptes rendus, quelques extraits, leurs propres déclarations à la radio, comme celles que je viens d'entendre ce matin, me suffisent amplement.

Il serait puéril de se laisser impressionner par le caractère prétendument "scientifique" de leurs allégations et de leurs raisonnements. Partant du présupposé que la foi chrétienne est vaine et que le christianisme résulte d'une succession d'impostures, ils ne peuvent évidemment conclure autrement que par leur point de départ.

L'idée, par exemple, que Jésus n'aurait pas eu conscience d'être le Messie annoncé par les prophètes ou d'être le Fils éternellement uni au Père ou d'être le Seigneur, ou bien celle qu'Il n'aurait pas eu l'intention de fonder une communauté rassemblant ceux qui mettraient leur foi en Lui, sont parfaitement inacceptables pour quiconque a lu honnêtement les textes par lesquels nous Le connaissons principalement, à savoir les évangiles et les autres écrits du Nouveau Testament. Si l'on a quelque peu étudié l'histoire du christianisme ancien, on admettra moins volontiers encore que l'Église chrétienne ne soit pas celle même que Jésus a fondée.

Il est clair que l'entreprise de ces messieurs, qui est peut-être secondairement un moyen pour eux de faire parler d'eux et de se procurer des revenus, n'est pas seulement la leur, sans quoi l'on ne s'expliquerait pas l'énorme battage fait autour d'elle, et est essentiellement destinée à servir de machine de guerre contre la foi en Jésus-Christ et contre l'Église.

Je vois dans cette affaire un aspect réjouissant : c'est que ceux qui se veulent les adversaires de la foi et de l'Église ne se donneraient pas autant de mal s'ils croyaient avoir déjà gagné la partie dans laquelle ils se sont engagés. La vigueur nouvelle de leurs attaques répond au dynamisme renouvelé de l'évangélisation du monde.

Comparons avec ce qui se produit dans d'autres domaines : les médecins s'écartant des chemins convenus ou les personnes préconisant une méthode alimentaire raisonnable ou quelque autre moyen simple de se maintenir en meilleure santé ne se heurtent guère à des difficultés visiblement concertées ou ne se voient guère infliger des procès retentissants que lorsque ce qu'ils proposent apparaît comme manifestement bénéfique et commence à se répandre un peu largement. Pour prendre un exemple simple, la Sécurité sociale française, en remboursant de moins en moins les remèdes homoeopathiques, alors que ceux-ci sont relativement peu coûteux, avoue hautement que leur efficacité et leur innocuité inquiètent gravement les fabricants et les marchands de produits pharmaceutiques dangereux, peut-être aussi les intérêts de corps des médecins distributeurs de produits chimiques et d'antibiotiques peu enclins à reprendre leurs études afin de répondre à la faveur croissante de l'homoeopathie dans la population.

Il est malheureusement certain qu'un certain nombre de personnes insuffisamment informées s'en laisseront imposer et seront détournées de leur intention de chercher à connaître Jésus et Son Église, que même des chrétiens insuffisamment instruits de leur propre doctrine se trouveront gravement troublés.

Notons qu'un peu de curiosité et d'esprit critique peut aussi bien produire un effet opposé. Je connais le cas d'un jeune homme parfaitement ignorant du christianisme qui, ayant dû pour ses études littéraires lire assidûment Voltaire, s'est demandé pourquoi cet écrivain éprouvait tant de ressentiment contre l'Église catholique, s'est en conséquence intéressé à celle-ci, puis, émerveillé parce qu'il a alors découvert, s'est converti avec ferveur. Je souhaite aux lecteurs de MM. Mordillat et Prieur et aux spectateurs de leurs émissions la joie de suivre un chemin semblable.